QCM XML Corrigé – Partie 8

QCM sur XML avec des réponses pour la préparation des entretiens d’embauche, tests en ligne, examens et certifications. Ces questions et réponses sur XML comprennent divers sujets tel que les bases de XML, syntaxe, DOM, Parser, DTD, Xpath, etc…. Et sont tirés d’un vrai entretien écrit et certaines parties sont en direct. Cette méthode d’apprentissage systématique préparera facilement toute personne pour réussir son test sur XML.
 
 

1. L’astérisque ( * ) à la fin du nom d’un élément dans une DTD signifie:

A La fin de la liste des éléments

B Le début de la liste des éléments

C La DTD contient de zéro à plusieurs de cet élément

D La DTD contient cet élément et moins d’éléments

C
L’astérisque à la fin du nom d’un élément dans une DTD signifie que la DTD contient zéro à plusieurs de cet élément. Cela indique que l’élément est facultatif et qu’il peut apparaître plusieurs fois ou pas du tout dans le document XML qui adhère à la DTD. Par exemple:

<!ELEMENT library ( book* )>

indique que l’élément library contient un nombre quelconque d’éléments book, y compris la possibilité qu’il n’y en ait aucun. Les exemples de balisage conformes à ce schéma sont les suivants:

<library>
	<book>À la recherche du temps perdu</book>
	<book>Voyage au bout de la nuit</book>
	<book>Au coeur des ténèbres</book>
</library>

 

2. Le DOCTYPE est utilisé pour :

A Créer la section CDATA d’un document XML

B Créer un document XML

C Identifier la DTD d’un document XML

D Identifier le parseur utilisé pour analyser le document XML

C
Le DOCTYPE est utilisé pour identifier la DTD (Document Type Definition) d’un document XML. La DTD définit la structure, les éléments et les attributs autorisés dans le document XML. En spécifiant le DOCTYPE, le parseur XML sait quel ensemble de règles suivre lors de l’analyse et de la validation du document XML. Cela permet de s’assurer que le document XML est bien formaté et conforme à la DTD spécifiée.

 

3. Toutes les balises XML doivent avoir un attribut.

A Vrai

B Faux

B
Les balises XML ne doivent pas nécessairement avoir un attribut. En XML, les balises peuvent être utilisées pour définir la structure et le contenu des données, et les attributs sont des informations supplémentaires facultatives qui peuvent être associées aux balises. Il n’est donc pas obligatoire que toutes les balises XML aient un attribut.

 

 
 

4. Des symboles spéciaux peuvent être insérés dans un document XML en utilisant:

A CDATA

B Une valeur UNICODE

C Un attribut

D Un commentaire

B
Des symboles spéciaux peuvent être insérés dans un document XML à l’aide d’une valeur UNICODE. L’UNICODE est une norme de codage de caractères universelle qui attribue un numéro unique à chaque caractère dans presque tous les systèmes de rédaction. En utilisant une valeur UNICODE, les symboles spéciaux qui ne sont pas directement pris en charge par XML peuvent être représentés et insérés dans le document. Cela permet d’inclure dans les documents XML une large gamme de caractères provenant de différentes langues et de différents jeux de symboles.

 

5. Un document XML doit contenir tous les éléments déclarés dans la DTD.

A Vrai

B Faux

B
Un document XML ne doit pas nécessairement contenir tous les éléments déclarés dans la DTD. La DTD (Document Type Definition) définit la structure et les règles du document XML, mais elle n’impose pas la présence de tous les éléments dans le document XML. Les documents XML peuvent être valides même s’ils n’incluent pas tous les éléments déclarés dans la DTD. La réponse correcte est donc Faux.

 

6. #PCDATA fait référence à ____________

A Parsed charter data

B Program character data

C Parsed character data

D Aucune de ces réponses

C
#PCDATA fait référence à Parsed Character Data (données de caractères analysées). Les données de caractères analysées sont le contenu d’un élément XML qui est analysé et traité par un analyseur XML. Il s’agit de données de caractères qui ne sont pas marquées par des balises ou des attributs XML. Ces données sont traitées comme du texte et ne sont pas interprétées comme des balises ou du code. Par conséquent, la réponse correcte est « Parsed character data ».

 

 
 

7. Une balise image est un exemple d’un élément vide.

A Vrai

B Faux

A
Une balise image est considérée comme un exemple d’élément vide, car elle ne nécessite pas de balise de fermeture. La balise est utilisée pour afficher une image sur une page web et ne contient aucun contenu ou texte. Elle ne nécessite que des attributs pour spécifier la source et d’autres propriétés de l’image. Elle est donc classée comme un élément vide.

<img src="image.jpg" width="500" height="600" />

 

8. Le nom d’un élément peut commencer par _______.

A Deux points

B Underscore (_)

C Des lettres

D Tous les éléments ci-dessus

D
Toutes les options énumérées (deux points, underscore et lettres) peuvent être utilisées comme premier caractère d’un nom d’élément. En XML et HTML, les deux points sont utilisés pour indiquer un préfixe d’espace de noms. Un underscore est un caractère valide dans un nom d’élément. Les lettres sont couramment utilisées comme premier caractère dans les noms d’éléments. Par conséquent, toutes les options sont correctes.

 

9. Vous ne pouvez pas définir des options de validité lors de la déclaration d’un attribut.

A Vrai

B Faux

B
Lors de la déclaration d’un attribut, il est possible de définir des options de validité. Cela permet à l’attribut de n’accepter que certaines valeurs répondant à des critères spécifiques. En définissant des options de validité, vous pouvez vous assurer que l’attribut ne reçoit que des données comprises dans la plage ou les critères spécifiés, ce qui facilite la validation et le contrôle des données affectées à l’attribut. Par conséquent, l’affirmation « Vous ne pouvez pas définir des options de validité lors de la déclaration d’un attribut » est fausse.

 

 
 

10. Un schéma XML est utilisé pour définir un type complexe.

A Vrai

B Faux

A
Un schéma XML est un moyen de définir la structure, le contenu et les types de données des documents XML. Il permet la création de types complexes, qui sont utilisés pour définir des éléments pouvant contenir d’autres éléments ou attributs. En définissant un type complexe, le schéma XML permet de spécifier la structure hiérarchique et les relations au sein d’un document XML, ce qui facilite la validation et le traitement des données. Par conséquent, l’affirmation selon laquelle un schéma XML est utilisé pour définir un type complexe est vraie.

 

 

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