QCM Linux – Droit et permission d’accès aux fichiers – Partie 2

Des questions et des réponses à choix multiple (QCM) sur Linux se concentre sur « Les droit et permission d’accès aux fichiers» afin de préparer à des examens, des entretiens et des certifications, comme l’examen Redhat, l’examen CompTIA, la certification Ubuntu / SuSE, l’examen de certification LPI. Cette méthode d’apprentissage systématique préparera facilement toute personne pour réussir son test sur Linux.
 
 

1. Quelle commande est utilisée pour attribuer le droit de lecture-écriture au propriétaire du fichier?

A chmod a+r file

B chmod o+r file

C chmod u=rw file

D chmod og-r file

C
« chmod » est une abréviation du change mode est une commande qui peut modifier les autorisations d’accès des fichiers et des répertoires. Les permissions sont filtrées par le umask.

 

2. La commande suivante:
$ chmod 4777 c.out

A définira le bit SUID de c.out

B ne définira le bit SUID de c.out que si la commande est soumis par l’utilisateur root

C commande non valide

D mettra le sticky bit de c.out

A
SUID (Set owner User ID) est défini pour donner des droits temporaires à un utilisateur pour exécuter un programme ou un fichier avec les autorisations du propriétaire du fichier plutôt que l’utilisateur qui l’exécute.

 

3. Avec la valeur umask de 112, quelle est la permission par défaut attribuée à un fichier nouvellement créé?

A -x-x-wx

B -rw-rw-r-

C -r-xr-x-r-

D -rw-rw-r-x

D

Si la valeur de umask est 112, donc la permission par défaut attribuée à un fichier nouvellement créé est 777 – 112 = 665 avec r=4 / w=2 / x=1 ce qui signifie que les fichiers nouvellement créés sont lisibles en lecture et écriture par le propriétaire et le groupe, mais uniquement en écriture pour autres utilisateurs:

$ touch MyNewFile
$ ls -dl MyNewFile

-rw-rw-r-x 1 alex alex 0 Feb  1 14:20 MyNewFile

 
Pour voir le umask par défaut on utilise la commande suivante:

$ umask
112

 

4. Les permissions -rwxr-xr-t représentées par la valeur octale _____?

A 0777

B 1755

C 1754

D 2754

B
Le sticky bit ($ chmod +t file-name) a été introduit pour être utilisé avec des exécutables afin de permettre à un système d’exploitation de conserver le segment de texte du programme dans l’espace du swap une fois le processus terminé. C’était une fonctionnalité de performance conçue pour accélérer l’exécution du programme. Le sticky bit est plus couramment utilisé sur les répertoires où il permet aux fichiers ou répertoires d’être déplacés ou supprimés uniquement par le propriétaire de cet objet, le propriétaire du répertoire ou le super-utilisateur root. Pour définir le sticky bit sur un fichie, la valeur octale est 1000 et la valeur symbolique est « t ».
De façon symbolique:

$ chmod o+t file1.txt

 
De façon numérique:

$ chmod 1755 file1.txt

 
Le sticky bit n’a aucun effet si other ne dispose pas des autorisations d’exécution. Le sticky bit est représenté avec un « t » minuscule dans la sortie de ls. Dans les cas où il n’a pas d’effet, il est représenté par un « T » majuscule.

$ ls -l file1

-rwxr-xr-t 1 user1 user1 0 2018-10-29 21:41 file1

 

Différence entre Software et Hardware

0 réflexion sur “QCM Linux – Droit et permission d’accès aux fichiers – Partie 2

  • septembre 23, 2018 à 1:45 am
    Permalien

    La question 10) Nous ne pouvons pas, par ce que umask est utilisé pour réduire les permissions, pas pour les augmenter. Il semblerait que vous demandiez comment la permission par défaut inclue le bit exécutable (x) pour tout nouveau fichier créé. Ce n'est vraiment pas une bonne idée et ce n'est pas supporté.

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *